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06/06/2025
Capital innovation
Thunder Code se teste en amorçage
06/06/2025
Retournement
PayGreen repris par une fintech
06/06/2025
Capital développement
Knave déploie son modèle en Chine
06/06/2025
International
Havas entretient ses relations au Canada
06/06/2025
LBO
Les Établissements Dardé se fixent dans une holding entrepreneuriale
06/06/2025
LBO
Albingia accueille de nouveaux investisseurs
06/06/2025
Nominations
Cornet Vincent Ségurel renouvelle sa direction
06/06/2025
Nominations
KPMG adopte une organisation matricielle
06/06/2025
Nominations
Sienna IM alimente ses relations LPs
06/06/2025
M&A Corporate
Storipro déroule ses stores pour un confrère
06/06/2025
Nominations
Luxempart s'étoffe
06/06/2025
Nominations
Alexandra Fortin crée son cabinet digital
06/06/2025
Marché Général
Apera va s’adosser à un gérant américain
06/06/2025
Exclusif CFNEWS
Un groupe d'édition de logiciels lève une option sur Optionizr
06/06/2025
Build-up
Willing croît dans les Pays de la Loire
CANVIEW

Il faut (déjà) remettre le couvert !


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À voir le branle-bas de combat qui anime les professionnels du restructuring, saisis d’une frénésie de recrutement et de consolidation (lire page 34), on a du mal à croire à l’accalmie qui règne depuis quelques mois sur le paysage des entreprises en difficultés. « Derrière la façade de calme apparent qui a enveloppé cette année 2016, nous avons en réalité vécu une année passionnante avec des sujets variés de restructuring et de refinancement distressed », confie Fabrice Patrizio, associé chez Archers, spécialisé en restructuration financière, intervenu notamment sur le dossier Soitec.

Pour autant, le pipe des gros dossiers en difficultés s’est considérablement amenuisé malgré les rebondissements de certains feuilletons médiatiques comme Vivarte et Solocal. « Le nombre de dossiers soumis au CIRI, qui traite essentiellement des ETI employant plus de 500 salariés est passé de 120 sollicitations, il y a quatre ans, à une trentaine de dossiers aujourd’hui, confirme Pascal Bonnet, à la tête de l’équipe restructuring de KPMG. Il s’agit là d’un effet mécanique de la baisse du stock des dossiers de la crise de 2008-2010 qui ont déjà été traités. Mais la véritable reprise n’est pas au rendez-vous. » Les dossiers sont moins nombreux certes, mais ils arrivent sur la Place dans un état bien plus dégradé.

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