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06/06/2025
Capital innovation
Thunder Code se teste en amorçage
06/06/2025
Retournement
PayGreen repris par une fintech
06/06/2025
Capital développement
Knave déploie son modèle en Chine
06/06/2025
International
Havas entretient ses relations au Canada
06/06/2025
LBO
Les Établissements Dardé se fixent dans une holding entrepreneuriale
06/06/2025
LBO
Albingia accueille de nouveaux investisseurs
06/06/2025
Nominations
Cornet Vincent Ségurel renouvelle sa direction
06/06/2025
Nominations
KPMG adopte une organisation matricielle
06/06/2025
Nominations
Sienna IM alimente ses relations LPs
06/06/2025
M&A Corporate
Storipro déroule ses stores pour un confrère
06/06/2025
Nominations
Luxempart s'étoffe
06/06/2025
Nominations
Alexandra Fortin crée son cabinet digital
06/06/2025
Marché Général
Apera va s’adosser à un gérant américain
06/06/2025
Exclusif CFNEWS
Un groupe d'édition de logiciels lève une option sur Optionizr
06/06/2025
Build-up
Willing croît dans les Pays de la Loire
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Entrepreneurs : l’apport-cession facilité Accès libre


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Le régime de l’apport-cession rencontre un vif succès auprès des dirigeants qui vendent leur entreprise. Il leur permet de garder un pied dans les affaires et aussi d’alléger sensiblement la fiscalité applicable à la plus-value dégagée. Si le chef d’entreprise réinvestit le fruit de la vente ou une partie de celui-ci, dans une autre activité, l’impôt correspondant aux sommes réinvesties est reporté, et si tout se passe bien, il n’aura peut-être jamais à être payé.

Le régime de l’apport-cession est très encadré fiscalement et pour en bénéficier, le chef d’entreprise dispose de trois solutions : soit il réinvestit dans une activité qu’il crée pour l’occasion, soit il achète une ou des sociétés dont il doit obligatoirement devenir majoritaire, soit enfin, il prend des participations minoritaires dans des sociétés à l’occasion d’augmentations de capital. Dans le premier cas, le chef d’entreprise sait généralement quel type de société il veut créer et il n’a besoin de personne pour mettre son projet à exécution. Dans le second cas, soit il a déjà identifié sa cible, soit il peut s’adresser à une banque d’affaires qui se chargera de lui trouver chaussure à son pied.

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